Izia
Calvi
Doucement le jour se lève derrière les montagnes
Se réveille la lumière, et apparaît la citadelle
Joyau nu, tu nous as vu chanter dans tes pierres
Célébrer la mère et l’amour, à jamais ma citadelle

Calvi, Calvi, Calvi, Calvi
Irresistible auprès de toi
Calvi, Calvi, ooh
Calvi, Calvi, Calvi
Vivant les souvenirs de nous voir
Calvi, Calvi, ooh

Funambule sur les remparts, car les fous, joueront à se battre
Et s’éteindre dans ton ventre, citadelle
Quand les vents se soulèvent
Tous les corps tremblent et se rappellent pour toujours
Les enfants de la citadelle

Calvi, Calvi, Calvi, Calvi
Irrésistible auprès de toi
Calvi, Calvi, ooh
Calvi, Calvi, Calvi
Vivant les souvenirs de nous voir
Calvi, Calvi, ooh

On dirait que tu danses quand tu marches dans les rues, je me souviens
Tes deux bras tendus qui me soulèvent, citadelle, je me souviens
Je me souviens, je me souviens, je me souviens
Calvi, Calvi, Calvi
Irrésistible auprès de toi
Calvi, Calvi, ooh
Calvi, Calvi, Calvi
Vivant les souvenirs de nous voir
Calvi, Calvi, ooh

Calvi, Calvi, Calvi
Irrésistible auprès de toi
Calvi, calvi, ooh