Louise Attaque
Tout passe
Des ambitieux
De ton espèce
Des moins que rien soucieux d'image
Et peu du reste
Nous on reste à crier
Que ça nous blesse
Que l'infiniment grand, petit ici, on déteste

À mettre au feu
Ta gentillesse
À dépolir le verre qui coule de tes yeux
Nous on reste à crier
Que ça nous blesse
Et que l'indifférence ici grandit plus épaisse
Y a beaucoup plus que c'qu'on voit
Qui pourrait, arriver
Y a toujours plus que c'qu'on voit
Qui devrait, arriver
Mais y a rien de plus sinon toi
Qui pouvait arriver
Si j'ai la taille de ce que je vois
C'est vide quand je regarde vers toi

Tout passe
Sans arriver
Mais on va te suivre à la trace
Jusqu'à pouvoir crier
Que de la carte, on t'efface
Des ambitieux
De ton espèce
Des moins que rien soucieux d'image
Et peu du reste
Nous on reste à crier
Que ça nous blesse
Et que l'indifférence ici grandit plus épaisse
Y a beaucoup plus que c'qu'on voit
Qui pourrait, arriver
Y a toujours plus que c'qu'on voit
Qui devrait, arriver
Mais y a rien de plus sinon toi
Qui pouvait arriver
Si j'ai la taille de ce que je vois
C'est vide quand je regarde vers toi

Tout passe
Sans arriver
Mais on va te suivre à la trace
Jusqu'à pouvoir crier
Que de la carte, on t'efface

C'est dans ta tête puis dans tes bras
Ça coule jusqu'au bout de tes doigts
Mets les mains sur la tête
Tu feras plus rien de tes dix doigts
Et rien de plus, ça j'y crois pas
Qui pourrait nous arriver
Regarde un manque de contrepoids
Et le vide creuse vers moi