Moubarak
Moubzer de la zer
[Intro]
Moubzer de la zer, d'or et de platine

[Couplet unique]
J'me lève le matin, super mal-a-lade
Amende, justice il faut que j’escala-lade
Vers le vieux port j'me fais une bal-la-lade
J’écoute les fous et toutes les sal-la-lades
Je fais mon chemin, détendu j'suis serein
Si je me rate c’est rien, j'me relève j'reste sur le terrain
Tu veux que j’appuie sur le frein, t’es bizarre ouais ça craint
Elle cherche les coups de reins, demande pas si je vais bien
(J'ten veux pas moi, hein)
Tu veux savoir ce que je vaux, tu me testes mais dis-moi pourquoi poto
Je sais pas si tu m’aimes, je sais pas ce que tu vaux
Je vois trop de choses, je n’ai même plus les mots
Tout comme toi le sang, je vis comme je le sens, de tristesse et de joie
J'vis à contresens, de potos écroués, de potos qui font platine sur un doigt
On m’écoute pas trop moi j’ai des sales idées, j'représente les trous perdus et les cités
Les sportifs, les alcoolos et les shités, pas ceux qui au poste des blazes ils sont cités
Non non, j’ai pas de Vuitton filé, maman t’inquiète un jour on va filer
Je sais même plus à qui je dois me fier, tu parles avec moi pour te faufiler
J’ai fait un gros tri, il y en a qui on fait des trous, trous j’en parle plus aujourd’hui
Ils sont plein de business, l’amitié ça part en vrille, j’ai compris que c’est comme ça
Oui j’ai compris que c’est comme ça, c’est comme ça
Je veux que maman dans mes bras, je veux que maman dans mes bras
Ils me font trop de manières, pa, pa, la, la
Je prends sur moi c’est pas grave, pa, pa, la, la
Dans nos têtes c’est la guerre, pa, pa, la, la
On esquive la gard’av, pa, pa, la, la
Ils me font trop de manières, pa, pa, la, la
Je prends sur moi c’est pas grave, pa, pa, la, la
Dans nos têtes c’est la guerre, pa, pa, la, la
On esquive la gard’av, pa, pa, la, la
[Refrain]
C’est le ghetto, c’est pochon, pacon ou bien celo
Génération, je vais avec mon plan au tel-oh
Où je traine jusqu’à pas d’heure au ghetto
C’est le ghetto, c’est pochon, pacon ou bien celo
Génération, je vais avec mon plan au tel-oh
Où je traine jusqu’à pas d’heure au ghetto