Édith Piaf
Toi, Tu L’entends Pas
Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
Cette fête
Dans ma tête
Toi, tu les vois pas
Tous ces millions de chandelles
Qui brûlent dans ma cervelle
Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
C'est trop bête
C'est trop bête
Toi, tu n'entends pas
Cet orchestre gigantesque
Puisque il ne joue que pour moi

Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
Cette foule
Qui me soûle
De ses cris de joie
Qui dansent carmagnole
Et chantent des choses folles
Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
La vacarme
Qui s'acharne
Tout au fond de moi
Il m'envahit corps et âme
Mais toi, tu ne l'entends pas
Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
Les musiques
Et les cirques
Et les op?ras
La garde républicaine
La grande fête foraine
Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
Mon cœur battre
Se débattre
Se battre pour toi
Il fait du bruit comme quatre
Mais toi, tu ne l'entends pas

Toi, tu n'entends pas
Toi, tu n'entends pas
C'est trop bête
C'est trop bête
Toi, tu n'entends pas
Ces millions de pommes
Pour chaque rime est "je t'aime"
Tu les entendras
Tu les entendras
Quand tu m'aimes
Quand tu m'aimes
Quand tu m'aimeras
Tu entreras dans ma ronde
Le jour où tu m'aimeras
Tu entreras dans ma ronde...
...Le jour où tu m'aimeras...