Kamikaz
FreestyledeStreet - Episode 5
[Couplet unique]
Peu de mecs vrais beaucoup trop de mauvais, peu de fierté c'est tout pour les lovés
T'as rien prouver je n'ai rien à prouver, on a jamais douté par beaucoup dégouté
Peu de questions on prend les choses comme elles viennent encaisse les coups de pute sans savoir d'où ils viennent
A t'écouter tout le monde est le sang de la veine, ça prend des longues peines est-ce que ça en vaut la peine
Pour des petites sommes ça prend des perpètes, tu veux faire un feat on distribue des perfects
Que des mecs du ter la dégaine est suspecte, posé toute la journée cramé comme un Ouzbekt
Prends pas la confiance vas-y reste cool couz, les clients veulent leur dose le shit ou la picouze
Même devant les preuves rien à foutre on nie tous, gros bolide grosses jantes en vingt-quatre pouces
J'vois de père en fils le biz se perpétrer, il en faut très peu pour qu'on te fasse ta fête
Faut t'enlever la vie pour qu'on t'efface ta dette, c'est chacun pour sa peau pote laisse ta fête
J'ai de la famille du 84 à Toulouse, tu veux nous tester mais t'es qu'un mauvais you lose
Peu importe le moyen poto faut des billets, ça vend le marron poto ça vend la pelouse
Amène du renfort si tu veux tester, tu veux te mesurer tu vas détester
Déterminé la puissance vient du ter-ter, ça posait dans la cave comme des rats
Ils font les rageuls mais c'est hatchouns, peu de mecs vrai demande à Hako
J'assume si je leur fait une quenelle, j'baisserai pas mon froc à la Sakko
Beaucoup font les mecs ils veulent investir, au fond ça ne pense qu'à tirer profil
Cerveau enfumé depuis le matin, ça déjeune un pétard un coffee Avant de signer faut qu'on négocie, si je mange faut que mes potos aussi
Cerveau enfumé pour moins de soucis, ouais ça fait des roues arrières Valentino Rossi
Ici tu parles mal la con de ton père, je ne calcule pas les jaloux quand j'opère
Laisse les avec le temps ils finiront par terre, laisse les avec le temps ils finiront par se taire
On veut un empire comme gosse dans Power, on court après le temps à la Jack Bower
Depuis toujours les médias nous manipule, l'histoire est fausse comme celle des Twin Towers
Poto tu veux du rap on t'envoie les cartas, ils faut du bif pour que tous les frères cassent
A vingt-cinq piges c'est des fartas, tous les jeunes fauves se battent pour une carcasse
A la trace ça cherche monnaie à l'odeur, la jeunesse prend les plus gros voyous pour leader
Tu fais le fou mais t'es qu'une folle comme certains videurs, fais pas la fraiche si tu sais que t'es la pire laideur
En galère y'a ceux qui se foutent ceux qui te tendent la main, nique les petits bâtards qui volent les sacs à main
Ca braque pour pas un arme à la main, ça rentre au quartier frein à main
Elevé à la street bitume, charbon ter-ter béton, qu'un seul but c'est de faire des thunes palette de cinquante dans la Louis Vuitton
Qu'est-ce tu me parles d'aller travailler pour mil deux, c'est la survie pas de quoi de mettre de côté
Faut qu'on la ferme comme si c'était normal, ne voie-tu pas qu'ils nous baisent en beauté
Si tu veux percer faut être culotté, ça sort des bolides sans savoir piloter
Je me verrai bien posé sur une île aux Bahamas, posé sur une plage en train de siroter
Un putain de cocktail ils prennent de la coke tel que des schlags rien à foutre du Game rien à foutre du Top Ten
Beaucoup se prennent pour Pablo, ça veut brasser comme dans Blow
Ils sont plein de complots ça esquive les coups de pute comme des plots