Odezenne
Corps à prendre
Rien de plus, tout me va, saut de puce où je vais, rien ne m’use ici-bas tout compte fait. Je me fais trouble-fête, ai-je été souhaité de la manière dont je me suis fait ? Je me casse, je répare, l’épiderme camisole. Effacé. Des pensées à la gomme. Chromosome qui se porte de la zone à la portée des hommes. C’est tout con, c’est tout comme
Y’a les coûts d’un coup bas à payer, pas beaucoup de combats à lier. Si la chance veut tourner dans un sens arrogant ne perds pas ton beau temps à prier. C’est étrange, je m’épanche sur l’écho de ma foi au détour d’un secours
— « Mon amour ! »
N’aie donc pas de tracas, n’aie pas peur pour ma voie, les vautours veilleront au parcours
Y fait pas chaud, j’y suis pas bien. Je le connais pas, je l’ai pas connu. C’est un machin, j’y suis perdu
— « Comment on fait pour mes cendres ? Ciao pantin, j’ai trop bu, comment on fait pour descendre ? »
C’est pas malin, c’est tout nu et on m’a dit d’attendre. Un corps en vie, encore une nuit, mélodie des tendres. Pourquoi les rires sont-ils partis ? Elle a dû les prendre, s’éprendre comme un rideau tombe. Le pendre, coma dans ma tombe
Déjà la fin et j'ai rien vu
Comment on fait pour comprendre ?
Pour le meilleur et pour le pire, marié dans l’attente. Etendre de l’air au matin. Et feindre t’aimer à la fin